« Il est l’or Monseignor ! »
Du masque funéraire royal à la scène biblique, en passant par un portrait
d’apparât ou même de simples toilettes, l’or fascine et a envahi l’art : mosaïques byzantines, parures aztèques, retables de Giotto, portraits de Rembrandt, monochromes de Klein, art néo-kitsch de Koons… On l’utilise pour traiter
tous les sujets et orner toutes les matières. Il se pare des plus grandes
richesses pour appuyer notre imaginaire ou pour dénoncer le consumérisme
de notre société. Mais notre fascination pour l’or ne reside-t-elle
pas dans cette contradiction ?
Du masque funéraire royal à la scène biblique, en passant par un portrait
d’apparât ou même de simples toilettes, l’or fascine et a envahi l’art : mosaïques byzantines, parures aztèques, retables de Giotto, portraits de Rembrandt, monochromes de Klein, art néo-kitsch de Koons… On l’utilise pour traiter
tous les sujets et orner toutes les matières. Il se pare des plus grandes
richesses pour appuyer notre imaginaire ou pour dénoncer le consumérisme
de notre société. Mais notre fascination pour l’or ne reside-t-elle
pas dans cette contradiction ?